Dans un premier temps au cours des réunions ordinaires un plan de travail a été établi.
Au départ de l’atelier, comme il avait été prévu de fixer les arbres sur une grille, sur une grande feuille on a tracé les contours du sui ban et commencer à y appliquer du grillage pour le découper.
Mais, à la réflexion, on a pensé que ce système entraverait le rempotage futur.
On s’est tourné alors vers un treillis de baguettes en bois liées entre-elles.
Les petits charmes, dans une barquette, avaient été numérotés, pour les distinguer lors du choix et de leur mise en place.
Quelques charmes un peu plus gros étaient, eux, dans des pots de culture.
Fixation des grilles sur les trous de drainage et simultanément du réseau de baguettes. On n’est pas trop de trois !
On commence à séparer les petits charmes choisis après discussion.
Pour commencer on place sur le plan de la "lauze" les gros charmes retenus. Des coins en bois aident à leurs maintien et orientation.
Petit à petit on ajoute des arbres jusqu’à atteindre le nombre de 15 qui convient pour la taille de cette plaque.
Pour transférer la forêt sur la plaque, il faut d’abord mettre le substrat de fond et les fils de fixation de chaque arbre.
Puis reconstituer la forêt sur la plaque, cette fois, en fixant les arbres et en respectant le paysage construit sur la feuille de papier. Ce n’est pas la moindre difficulté, mais le nombre de spectateurs est peut-être bénéfique ! Là encore on utilise les coins.
Après la taille des arbres, élaboration de la motte et garnissage en surface par de la mousse, voici le résultat en Février.
Et après l’apparition des feuilles.